Rebondissement dans l'affaire Max Mosley : deux des femmes présentes affirment que la sauterie n'était pas une soirée violente et "nazi".
Mosley n’est pas un nazi
Fin mars 2008, Max Mosley avait défrayé la chronique en étant impliqué dans une affaire d’orgie fétichiste avec violence dans un appartement du quartier huppé de Chelsea. Cerise sur le gâteau : le patron de la F1 mondiale se déguisait en officier nazi durant ses ébats. Après une accalmie médiatique, cette histoire revient en force suite aux déclarations de deux des cinq prostituées présentes durant les événements. 
L’une d’elles défend Mosley en assurant qu’il n’y avait aucune brutalité dans l’acte, puisqu’elle « connaît Max depuis tellement de temps, qu’elle sait jusqu’où aller avec lui ». Elle ajoute également qu’il n’y avait aucune suggestion de thème nazi. « Il s’agissait juste de s’amuser. C’est comme lorsque les enfants jouent aux cow-boys et aux indiens » aurait-elle déclaré. On ne sait toujours pas qui a gagné.
Par Matthieu Rostac
Paru le 09 juillet 2008
