Les producteurs Marc et Grégory Dorcel se font tirer le portrait dans « Libération ». Le X à l’heure de la respectabilité ?
Dorcel
en quatrième de couv’
Décidément, Dorcel est la maison de production X la plus médiatisée de France. « Libération », dans son édition de vendredi, consacrait un portrait à la success story de Marc et Grégory Dorcel. Histoire de faire le point sur cette lignée de producteurs. « L’empire Dorcel ne commence vraiment qu’en 1979, lorsque Marc a l’idée de tourner des pornos en vidéo directe, tirés des romans-photos. « C’était au Vidcom de Cannes. Tous les autres avaient de la neige sur leur vidéo, à cause de transpositions télécinéma médiocres. Chez moi, on avait l’impression de regarder la télé puisque ça avait été tourné directement sur bande », rapporte le journaliste Eric Loret.
Avant d’enchaîner sur la période bling bling de Grégory Dorcel qui a « l’idée de surfer sur la vague « porno chic » », et fait ainsi passer Dorcel Production du « film artisanal à la série industrielle ». La prochaine étape ? « Le Dorcel store, qu’ils espèrent voir s’implanter dans toutes les villes moyennes de France. »
Par Nicolas Nykvist
Paru le 28 avril 2008