20% des américains préfèrent le sexe virtuel au réel. Eux n’y croient pas. Nous, si...
Aux USA,
on s’éclate sur le net
Quand il s’agit de sexe et de fantasme, les Etats-Unis n’ont pas fini de nous faire rire. Récemment un sondage réalisé par JWT Worldwide montrait que 20% des américains préfèreraient surfer sur le net que d’avoir des rapports sexuels réels. Une fois l’enquête rendue publique, de nombreux américains ont remis en cause sa validité.
Et, pourtant, deux faits divers semblent vérifier cette statistique. Ainsi, Jennifer Schultz, 22 ans : en parallèle de son travail avec de jeunes débiles légers, elle dirigeait un juteux business d’escorts transsexuelles à Buffalo. S’il n’y avait pas un client, Schultz ne se serait pas fait prendre. Elle passait des milliers de coups de téléphone de son travail pour gérer ses « girls ». Quant à l’avocat new-yorkais Jeffrey Koslow, il a clairement franchi la ligne rouge : il se connectait pour faire des avances à… des adolescents de 14 ans ! Même sur le net, la morale n’est pas relative...
Par Nicolas Nykvist
Paru le 12 décembre 2007
