Performeuses au look de Suicide Girls, actrices porno et ambiance à la Romero, ce sont des filles comme Bonnie Rotten, Asphyxia Noir, Skin Diamond ou encore Mason Moore qui écrasent l’esthétique que l’on connaissait des pornos pour un style plus dark et underground.
On connaissait déjà avant ces petits artifices sexy comme les tatouages ou les piercings que portent si bien nos actrices X préférées mais jamais comme maintenant. Véritable phénomène, aujourd’hui la mode est aux filles tatouée jouant les vilaines filles ou les victimes.
C’est une nouvelle vague d’actrice porno qui commence à faire son effet et à plaire de plus en plus. Tatouées, percées, ces actrices n’hésitent pas à faire de leur corps une oeuvre d’art et bien plus encore ! Au style badass et marginale Bonnie Rotten reste un exemple en matière de tatouage. Aujourd’hui, actrice la plus tatouée et sacrée en 2014 comme meilleure performeuse au AVN awards, elle enchaîne les film les plus brutaux. Du bondage aux gangs bangs, ces hardeuses deviennent petit à petit les stars d’un nouveau visuel aux couleurs sombres et sauvages qui rappelle le subtile mélange entre le corps parfait de la pin-up américaine des années 50 et l’esprit grace et rebelle de la punk londonnienne des années 80 (D’où son nom d’actrice Rotten pour Johnny Rotten ex-guitariste des Sex Pistol). Poussé par la soif du sexe hardcore, les Trasheuses poussent leur porn-play jusqu’aux références des films d’horreurs. Elles s’encrent sur leur peau tronçonneuse, toiles d’araignées, têtes de morts, cumulant l’art du hard sous toutes ses formes.
Comme le film de Tommy Pistol : Beyond Fucked: A zombie Oddysey, parodie X d’un film de morts-vivants (disponible en VOD sur toutes les Box chez Hot Vidéo) la mettant en avant Bonnie Rotten dans le rôle d’une chasseuse de zombie salope et agressive.
Au paroxysme de leur genre, les trasheuses savent attirer l’attention sur leur corp. C’est cet esprit jeune, sale et malsain qui excite les amateurs de porn. La mode aux tatouages, un public de plus en plus large vient fantasmer sur ces nouvelles déesses du sexe trash qui osent même afficher leurs convictions sur leur peau, l’exemple du tatouage “who’s next” de Mason Moore.