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Quand haltérophilie et pornophilie font bon ménage

Quand haltérophilie et pornophilie font bon ménage

 

Une étude révèle que, contrairement aux idées reçues, l’acte sexuel ne serait pas déconseillé avant les performances sportives. La vision d’images érotiques agirait favorablement sur le système hormonal. 

 

D’après une étude scientifique commandée par Hormones and Behavior, il est prouvé que la vision de clips vidéo érotico-pornos, violents ou humoristiques fait grimper le taux de testostérone des athlètes soumis au test (dont des haltérophiles), ce qui influerait favorablement sur leurs résultats sportifs. A l’inverse, les échantillons de salive révélaient que les vidéos neutres ou tristes faisaient quant à elles baisser la quantité d’hormones sécrétée par l’organisme.

 

Comme quoi, la tendance répandue, clamant que faire l’amour avant une compétition serait préjudiciable au sportif, s’avérerait totalement erronée. Ce serait même l’effet opposé ! Les grands baiseurs seraient-ils des athlètes en puissance ? Pour plus de précisions, reportez-vous à l’étude détaillée de l’expérience (disponible en anglais).